C’est une des voies prometteuses suivies par Honda, la Nasa et l’Institut de technologie de Californie pour la mobilité électrique, en remplacement des habituelles cellules lithium-ion. LEVER LE PIED SUR LE COBALT ET LE LITHIUM Parmi les reproches régulièrement formulés à l’encontre de la mobilité électrique, l’impact sur l’environnement et la santé publique de l’extraction de certains matériaux qui entrent dans la composition des batteries de traction. S’y ajoutent, entre autres, des prix qui s’emballent, des ressources qui peuvent potentiellement vite s’épuiser, et des dépendances à certains pays. D’où la nécessité de trouver un maximum de solutions différentes pour animer les engins branchés qui tendent à se multiplier. Le tout, sans reproduire les mauvais scénarios auxquels nous sommes habitués avec le pétrole. RENDEMENT 10 FOIS SUPÉRIEUR Avec un rendement 10 fois supérieur à celui d’une batterie lithium-ion, la solution à électrolyte fluorure liquide permettrait d’étirer les limites des véhicules électriques dans 2 directions opposées à choisir selon les besoins : soit exploiter la même place à bord pour des autonomies très importantes, soit au contraire réduire le pack pour pas plus de 400 ou 500 kilomètres de rayon d’action dans une voiture particulière. Ce qui aurait pour effet, dans ce deuxième cas, de diminuer très largement le surpoids des VE, et donc les émissions supplémentaires au niveau des pneus, en plus de la réductions du CO2 et de l’énergie consommée à la fabrication des accumulateurs. DES PROGRÈS IMPRESSIONNANTS La piste de l’électrolyte à base de fluorure a déjà donné lieu à des recherches. Le conducteur était alors sous la forme solide et nécessitait une température interne très élevée, de l’ordre de 150° C, pour une conductivité correcte. Solution indésirable à l’heure où les économies d’énergie sont importantes pour réussir la transition. La chimie mise en avant par les 3 partenaires s’appuie sur un électrolyte fluorure liqu
Voir l'articlePosté par admin le 17/12/2018 à 20:01:47
En ce début mai 2018, l’actualité de ABB est particulièrement riche, en particulier avec le lancement de sa borne de recharge 350 kW, déjà appréciée par quelques chefs d’Etats en déplacement à la foire de Hanovre (Allemagne). TERRA HIGH POWER Huit minutes : C’est le temps qu’il faudrait environ à cette borne de recharge d’une puissance de 350 kW pour permettre à une voiture électrique totalement compatible de retrouver 200 kilomètres d’autonomie ! Ce matériel, baptisé « Terra High Power » ou « Terra HP », a été officiellement lancé commercialement au sein de la foire de Hanovre. La borne Terra HP, à la hauteur également des besoins potentiels des poids lourds électriques, - camions et cars -, ABB la prédestine à une installation sur les aires d’autoroute et les stations-service. « Cette borne de recharge rapide haute puissance offre aux véhicules électriques une autonomie jusqu’à sept fois supérieure à celle des précédents modèles pour un même temps de charge », commente Ulrich Spiesshofer, président du groupe.
Voir l'articlePosté par admin le 04/05/2018 à 15:08:31
Aujourd'hui en France, moins de 0,1 % des consommateurs pratiquent l'autoconsommation. « Cultiver » son carré photovoltaïque est donc un épiphénomène. Mais c'est aussi une révolution dans les starting blocks ! Alors qu'elle n'existait ni dans le droit ni dans les faits avant la loi de transition énergétique d'août 2015, l'« électricité potagère » est en passe de devenir la source d'énergie la moins chère. Et autour du panneau photovoltaïque, c'est tout un écosystème qui est en train de se réinventer.
Voir l'articlePosté par admin le 04/04/2018 à 08:05:36
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